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Lire la suiteLa RSE s’intéresse de près aux questions de mobilité dans la mesure où le transport demeure un vecteur majeur d’émissions de particules, dont le CO2.
Le dernier bilan du Global Carbon Project, qui réunit une centaine de scientifiques, est sans appel : en 2022, les émissions mondiales de CO2 , le principal gaz à effet de serre (GES), atteignent 40,6 milliards de tonnes, en hausse de 1 % par rapport à 2021.
Le transport est responsable d’un quart de ces émissions mondiales de CO2, d’après l’AIE (agence internationale de l’énergie, 2021).
L’interdépendance des acteurs, la compléxité que peut parfois entrainer un changement d’énergie sont des freins légitimes qui ralentissent les changements d’habitude. Mais la réduction de l’impact environnemental du transport est l’un des leviers les plus pertinents pour réduire l’impact des activités humaines sur l’environnement : constructeurs, transporteurs, exploitants, possesseurs de voitures particulières ou de véhicules utilitaires, etc. développent des solutions qui facilitent le changement.
En France, les émissions de CO2 représentent globalement 385 millions de tonnes en 2023, selon le Citepa. Toutefois, le transport constitue l’activité qui contribue le plus aux émissions de CO2 avec 32%. La production d’électricité ne représente que 19% compte tenu du mix énergétique spécifique de la France avec le nucléaire.
Les transports routiers contribuent à la quasi-totalité (94 %) des émissions du secteur des transports, d’après le site public d’information sur l’environnement :
L’impact empreinte carbone est un des critères de l’axe environnement demandé aux entreprises dans le cadre de la RSE.
L’empreinte carbone se décompose en 3 scopes :
Source : ADEME
Les flottes de véhicules d’entreprises sont un levier important pour agir. Mais ce n’est pas le seul point : les déplacements domicile / travail ont aussi un impact. Le rôle de l’entreprise est alors d’informer, d’inciter et de proposer une alternative crédible de mobilité douce à chaque instant.
Chacun à son niveau à un rôle à jouer : individu, entreprise, collectivité.
Au niveau individuel, l’impact de la mobilité peut varier largement en fonction de chacun de nous. Ainsi, la Fresque du climat nous apprend qu’un parcours de 10 km peut émettre de 0 g de CO2 (avec la marche ou le vélo) jusqu’à 2,2 kg de CO2 avec une voiture thermique. Et des dispositifs intermédiaires permettent déjà de réduire l’impact environnemental : transports publics, covoiturage, etc.
L’État et les collectivités territoriales jouent un rôle moteur grâce à des dispositifs incitatifs comme le bonus écologique.
Les entreprises s’en emparent et choisissent leur solution. Le renouvellement de la flotte de véhicules utilitaires peut se faire simplement. Watèa accompagne totalement cette transition avec les services et les outils nécessaires, notamment au niveau des bornes de recharge des véhicules, qui profiteront à tous les collaborateurs, par la même occasion.
POUR ALLER PLUS LOIN AVEC LA RSE
On l’a dit, le changement est parfois peu évident. Les solutions disponibles sur le marché n’englobent pas toutes les facettes de l’usage par exemple. Watèa by Michelin se donne pour mission de réduire les émissions de CO2 en agissant sur la mobilité des professionnels. La mobilité électrique apporte une solution pertinente, notamment pour la partie usage du véhicule : non seulement elle réduit les émissions de CO2 mais aussi les polluants NOx (oxyde d’azote), autre fléau de la mobilité urbaine, 40 fois plus toxique que le monoxyde de carbone, d’après l’ADEME.
L’impact global d’un véhicule électrique inclut la fabrication mais aussi le cycle de vie de chaque composant. En restant conscient de l’impact actuel du cycle de vie des batteries, la mobilité électrique reste la clé de transports durables et peu polluants. Pour réduire son empreinte carbone, on commence par avoir un véhicule utilisé et nécessaire. Puis, on allonge sa durée de vie en prenant soin du matériel.
En conclusion, nos clients sont demandeurs de solutions qui s’intègrent dans le domaine de la RSE. Sans attendre d’être contraint par la réglementation RSE, ils souhaitent avancer dans la transition énergétique et être acteur du changement. Le verdissement des flottes d’entreprises, voitures particulières comme véhicules utilitaires, améliore des pratiques commerciales responsables et durables. Ainsi, les entreprises réduisent leur impact environnemental et s’ouvrent de nouvelles voies pour le business.
Les métiers évoluent face aux attentes de leurs clients et de leurs collaborateurs. Les chefs d’entreprise s’impliquent dans la transition écologique en adoptant la mobilité électrique dans leur quotidien, que ce soit pour la livraison du dernier kilomètre ou pour les services à l’habitat.
Et, cerise sur le gâteau, d’un point de vue social, après avoir adopté des véhicules utilitaires électriques, nos clients découvrent que les métiers en tension, comme les chauffeurs livreurs, gagnent en confort de conduite, en sérénité sur la route et en sobriété énergétique.
Découvrez nos solutions adaptées à votre entreprise, permettant une continuité de votre activité, l’amélioration de votre productivité et la rentabilisation de votre investissement. À chaque étape, nous vous accompagnons dans la transition énergétique de votre flotte.
Prenons rendez-vous. Nous verrons ensemble comment appliquer les nouvelles réglementations sans impacter vos finances
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